« Femmes de sciences de la Renaissance au XXème siècle : invisibles ou exceptionnelles ! »

« Femmes de sciences de la Renaissance au XXème siècle : invisibles ou exceptionnelles ! »

Café historique

60 min.

Quoi de commun entre Sophie Brahé, Angélique du Coudray, Emilie du Châtelet, Sophie Germain, Marie Curie, Emmanuelle Charpentier mais aussi Laura Agnesi, Ada Lovelace, Eunice Foote, Lise Meitner, ……et encore Rita Lévi-Montalcini ou Vera Rubin ?  Ces scientifiques sont considérées comme exceptionnelles, hier comme aujourd’hui, masquant le déni d’égalité des sexes.

            Depuis la Renaissance jusqu’au XVIIIème siècle, les femmes sont exclues des sciences. Certaines y sont par effraction, épouses, filles, ou parente d’un scientifique. Il faut attendre la fin du XIXème siècle pour que les femmes ne soient plus interdites d’université ni sommées de n’exercer que des tâches subalternes « naturellement » féminines. Place alors aux pionnières. Au cours du XXème siècle, l’accès des filles aux études universitaires et aux laboratoires, permet au sexe féminin de prouver qu’il est aussi compétent que le sexe masculin ! Néanmoins les hiérarchies et les stéréotypes demeurent des obstacles invisibles.

            C’est ce parcours dans le temps que nous allons brosser à grands traits. Le chemin est encore aujourd’hui difficile pour les femmes car nos sociétés portent surtout aux nues les sciences …viriles !

Avec

JL Jacquemond

Louis-Pascal Jacquemond

« Femmes de sciences de la Renaissance au XXème siècle : invisibles ou exceptionnelles ! »

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